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"La différence entre l'érotisme et la pornographie c'est la lumière". Bruce LaBruce
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dimanche 1 novembre 2009

Magnus Enckell (1877-1923)


Magnus Enckell est le premier peintre finlandais à rompre de manière décisive avec les idéaux naturalistes de ses années de formation à Helsinki de 1889 à 1891. Il fait à partir de 1891 un premier séjour à Paris, où il est l'élève de Jules Joseph Lefebvre et de Benjamin Constant à l'Académie Julian. Influencé tout d'abord par Pierre Puvis de Chavannes, il adopte les idées symbolistes et s'intéresse au spiritualisme très en vogue à cette époque.

Lors d'un séjour en Bretagne, il réalise deux peintures au chromatisme ascétique, Autoportrait et Femme Bretonne. Il se passionne pour la haute Renaissance et adhère aux conceptions idéalistes et mystiques de Sar Péladan, dont il intègre dans ses toiles l'idéal de beauté, la figure de l'androgyne. Dans L'Éveil, qu'il peint pendant son deuxième séjour à Paris en 1893, il se sert de la rigueur de la composition et de la transparence des couleurs pour tenter de parvenir au spirituel.

En 1894 et 1895, il séjourne à Milan, Florence, Ravenne, Sienne et Venise. Ces années-là sont celles d'un douloureux conflit intérieur et ses œuvres une réflexion sur la relation entre l'art et la vie. Les mois passés en Italie lui apportent la couleur, une atmosphère plus optimiste. Dans les premières années de XXe siècle, il s'intéresse à une peinture plus colorée, lumineuse, proche du post-impressionnisme, qui annonce la série des Baignades aux couleurs intenses et vivantes. Avec Verner Thomé et Ellen Thesleff, il fonde en 1912 le groupe Septem qui réunit les peintres partageant ses idées.
source:wikipedia






the raising 1894


Diana ja Endymion 1921


young boy and skull


Le jeune homme, 1916

narcisse 1896


adonis








poika-rannalla-1917

lepaava-poika-1892


la edad de oro 1917


fauno 1914



Il Sodoma





Le Sodoma (1477-1549), est un peintre siennois dont l'œuvre assure la transition artistique entre la fin de la Renaissance et le début du maniérisme.

Né à Vercelli (en français, Verceil, Piémont), Giovanni Antonio Bazzi, dit le Sodoma (surnom qui, selon le peintre Vasari dans son recueil de la biographie des peintres de la Renaissance, Le Vite, lui a été attribué pour des mœurs supposées licencieuses (il se "partageait" ses jeunes modéles avec Le Carravage, Cellini, Michel-Ange) dont il se glorifiait par des stances et vers qu’il déclamait sur la voie publique en s’accompagnant au luth), est l'élève de Giovanni Martino Spanzotti (v. 1456-v. 1526).

Il séjourne à Milan à partir de 1497 où il subit très tôt l'influence de Léonard de Vinci (avec qui on lui prèterait une liaison). Ses œuvres de jeunesse (Amour et Chasteté, musée du Louvre, Paris ; Nativité, 1503, et Judith, Pinacothèque nationale, Sienne ; Madone entourée de saints, Pinacothèque, Turin) témoignent d'un vif intérêt pour les recherches du maître, notamment le « sfumato ».

Dès 1501, le Sodoma quitte le Piémont pour Sienne. En juillet 1503, il entreprend la décoration à fresque du réfectoire de l’abbaye olivétaine Sant’Anna in Camprena, près de Pienza (Scènes de la vie du Christ), puis, poursuivant l’œuvre laissée inachevée par Luca Signorelli en 1497-1498 au cloître de l’abbaye de Monte Oliveto Maggiore (cycle de neuf fresques où sont retracées des Scènes de la vie de saint Benoît de Nursie), il s'attache à la réalisation de vingt-sept autres fresques (1505-1508).

En 1508, il est appelé à Rome par le banquier siennois et secrétaire apostolique Agostino Chigi qui l’a connu à Sienne en 1507. Après avoir commencé à travailler à la Chambre de la signature du Vatican (Stanze Vaticane), le Sodoma perd en 1509 la charge de ses travaux lors de la venue de Raphaël et retourne à Sienne en 1510, avant de revenir à Rome en 1516. C’est au cours de ses deux séjours dans la capitale romaine que le Sodoma peint à fresque (Noces d’Alexandre et de Roxane, 1509-1510 ; Alexandre le Grand rendant hommage à la famille de Darius, 1516-1517) la chambre à coucher (dite salle des noces) de la villa Chigi sur les bords du Tibre (cette villa que construit son ami architecte siennois Baldassare Peruzzi sera connue plus tard sous le nom de Farnésine après son rachat en 1579 par le cardinal Alexandre Farnèse). Cette fresque (jugée parfois incongrue et d’un style peu homogène par ses détracteurs), a pour prétextes narratifs quelques épisodes de la vie d'Alexandre, dont les noces légendaires d’Alexandre avec la princesse Roxane, d’après un tableau perdu du peintre grec Aetion, minutieusement décrit par Lucien.

La fresque des noces, peinte en l’honneur de la belle Imperia, la maîtresse d’Agostino Chigi qui se suicidera en pleine fleur de l’âge, porte indubitablement l’empreinte de Léonard de Vinci et de Raphaël, comme en attestent la beauté suave des visages et des corps et la grâce voluptueuse des « putti » ailés qui volètent autour du lit nuptial où repose une Roxane presque dénudée. Cette influence s'estompera dès le retour de l'artiste à Sienne en 1510.

De nouveau à Sienne en 1517, après un détour par Florence pour rencontrer Léonard de Vinci, le Sodoma est dès lors affublé par les Siennois du surnom d’« il mattaccio » (le « cinglé ») en raison de la bizarrerie de son comportement et de l’extravagance de son mode de vie (régentant une cour de jeunes éphèbes et flanqué de toute une ménagerie de singes, d’écureuils, de chats, de chiens et d’ânes nains), le Sodoma se met à peindre un Christ à la colonne pour l’église San Francesco (1517-1518, Pinacothèque nationale, Sienne). Il entreprend l’année suivante, avec l’aide de Domenico Beccafumi et de Girolamo del Pacchia, la décoration de la partie supérieure de l’oratorio de San Bernardino (saint François d’Assise ; saint Antoine de Padoue ; Couronnement de la Vierge,…).

Les œuvres de la dernière partie de la vie du Sodoma (nommé en 1518 chevalier de l’ordre du Christ par le pape Léon X puis comte du Palatin par l’empereur Charles Quint) sont marquées par un pathétisme maniériste nourri d'influences composites (saint Sébastien, 1525, galerie Palatine, palais Pitti, Florence ; fresques de la Vie de sainte Catherine de Sienne : Extase de Sainte Catherine ; Évanouissement de la sainte, 1526, chapelle de sainte Catherine, église San Domenico, Sienne ; fresque dominant l’autel de la capella di Piazza du Palazzo Pubblico, Sienne ; fresques de la chapelle des Espagnols de l’église Santo Spirito, Sienne, 1530 ; Épiphanie, 1536, église Sant’Agostino, Sienne ; Sainte Conversation, 1542, Museo Nazionale di San Matteo, Pise). Le Sodoma achève ses vieux jours, criblé de dettes, à l’hôpital de Santa Maria della Scala (en face du Duomo de Sienne).
source:encarta (remanié)




Frontispice de Le Vite






Saint Sébastien







la vestale tarpeia battue par les soldats de Tatius






le voleur non repenti 1530







la crucifixion







St Jérôme dans le désert, 1535







la flagellation du Christ







autoportrait au mont des oliviers







Saint-Sébastien 1525







Saint Michel terrassant le démon







Pieta, 1533







Homme nu, debout, tourné vers la droite







Cupidon dans un paysage, 1510







Ecce Homo







La résurrection (verso), 1535







le Christ portant la croix (recto), 1535






Gravures libertine (18ième)











Sasha Panyuta



thomas



steve


redfaceA


nick


hazakLR

greg


gemTH


brian

darTH

André Durand



André Durand est un peintre canadien né en 1947. Il est surtout connu pour ses portraits de personnalités comme Jean-Paul 2, le Dalaï Lama ou Lady Diana. Ses thèmes de prédilection sont sutout mystiques, mythologiques ou sacrés. En 2000 il fut le fondateur du Néomodernisme.


St Sebastian 2007


round art 1992


march nude 1972


kronos 2004


GREEN MAN AT THE LONGMAN 2002


gianni 1999


et in arcadia ego 2001


david et michel-angelo 1994


CHRIST AND THE SPHINX 2001


calcio storcio fiorentino 1990


birth of pegasus 1978


BIRTH OF THE DIOSCURI 1994


anthony dowell 1973

Dino Valls



Dino Valls est un peintre espagnol autodidacte, né a Saragosse en 1959, qui vit et travaille à Madrid.

Licencié en médecine, chirurgien, il abandonne cette voie en 1982 pour se consacrer totalement à la peinture. Mais la médecine et l'étude du corps influenceront sa peinture (instruments chirurgicaux, section anatomique des corps). C'est l'un des représentants espagnols de la Nouvelle figuration de l'avant-garde.

Sa peinture, en réélaborant les techniques des grands maîtres du passé, se concentre sur la psyché humaine en utilisant la figuration uniquement comme un support formel dans lequel se projette un contenu conceptuel d’une profonde charge psychique, et où les pulsions les plus obscures de l’inconscient s’élaborent en un processus symbolique d’intellectualisation.

Ses toiles sont peuplées de personnages des deux sexes d’age divers, mais tous semblent sous l’emprise d’une taraudante souffrance intérieure qui rappelle celle que l’on peut lire dans les portraits des grands mystique dans la peinture espagnole de la renaissance.

Sa passion pour la peinture ancienne lui fait faire de nombreux voyages pour aller étudier sérieusement les techniques des maîtres anciens dans les grands musées européens. En 1991, Valls étudie l'art de la tempera à l'œufs et la technique des maîtres italien et flamands des 16e et 17e siècles; cette technique reste sa favorite aujourd’hui. Il a participé à d’importants salons internationaux d’art contemporain et a réalisé de nombreuses expositions en Europe et aux États Unis.


STIGMATA 2002


REGRESSUS2005



PER LUCTUM – PER LUCTAM 1999


LA NAVE DE LOS LOCOS -THE SHIP OF FOOLS 1992


FLOS 2007


BARATHRUM2003


AURA 2003