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"La différence entre l'érotisme et la pornographie c'est la lumière". Bruce LaBruce
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jeudi 10 mai 2018


mardi 1 mai 2018


Utagawa Hiroshige, Japon

mardi 10 avril 2018

Estampe japonaise




lundi 18 décembre 2017



Naomichi Okutsu, Japon







































vendredi 8 décembre 2017






dimanche 26 novembre 2017






mardi 21 novembre 2017


Gengoroh Tagame, Japon

Merci à Fred













jeudi 1 juin 2017



Netsuke, Japon

根付






Le netsuke (根付) est un objet vestimentaire traditionnel japonais servant à maintenir les sagemono (littéralement « objets suspendus »). Le mot se décompose étymologiquement en ne (根, « racine »), et tsuke (付, « attacher »).

Le kimono n'ayant pas de poche, les différents objets usuels sont transportés dans des sortes de petites boîtes dénommées sagemono. Ces objets sont suspendus à l'obi de leur propriétaire par une cordelette. Le netsuke, placé au-dessus du bord supérieur de l'obi sert à maintenir le sagemono tel un taquet.



Un netsuke (à la ceinture) maintient un inrō fiché dans l'obi, palliant l'absence de poches du hakama, du kimono et du kosode.



dimanche 20 novembre 2016




Affiches japonaises






























samedi 12 novembre 2016




Utagawa Kuniyoshi,1797-1861. Japon





 Matsui Tamijiro combattant un serpent géant, 1825




vendredi 4 novembre 2016




Takuya Nakamura, Japon











vendredi 28 octobre 2016




Shunga - 春画, Japon
























Les shunga (春画) sont des gravures japonaises érotiques, de style ukiyo-e.

« Shunga » signifie littéralement « image du printemps », un euphémisme pour faire référence à l'acte sexuel. Le mot shunga serait dérivé de l'expression chinoise chungonghua, en japonais shungūga (春宮画), signifiant « image du palais du printemps », en évocation de la vie joyeuse menée au palais du prince héritier. L'âge d'or des shunga, se situe pendant l'époque d'Edo (1600 à 1868).











Les shunga trouvent leur origine en Chine. On pense qu'elles auraient été initialement inspirées par les illustrations des manuels médicaux durant l'époque Muromachi (1336 - 1573), et par les peintres érotiques chinois de cette époque qui avaient tendance à exagérer la taille des organes génitaux (qui est une des caractéristiques des shunga). Bien que présentes avant l'époque Edo, elles restent rares et destinées à la classe des courtisans, mais ce n'est qu'à cette époque qu'elles se développent réellement grâce aux évolutions considérables faites en matière d'impression, tant du point de vue de la qualité que de celui de la quantité.




Hokusai,  Kinoe no Komatsu. Le Rêve de la femme du pêcheur




 












































Il y eut de nombreuses tentatives de la part du gouvernement pour interdire les shunga, la première fut un édit publié par le shogunat de Tokugawa en 1661 interdisant, entre autres, les livres érotiques connus sous le nom de kōshokubon (好色本). Cette disposition affecta surtout les ouvrages critiquant le daimyo et les samouraïs. L'édit de 1722 beaucoup plus strict interdisant la production de tout nouveau livre sans l'accord du commissaire de la ville, fit définitivement passer les shunga dans la clandestinité, sans pour autant stopper leur épanouissement.

L'art shunga succombera finalement à l'apparition de la photographie érotique au début de l'ère Meiji (1868-1912). Il est cependant la source d'inspiration de la production hentai : animes et mangas à caractère pornographique. La première exposition de shunga au Japon ne se tient qu'en 2015, au musée Eisei Bunko.





Furyu enshoku 




Les shunga abordaient diverses situations offrant une grande variété de thèmes : les hommes séduisent les femmes, les femmes séduisent les hommes, les nubiles jusqu'aux vieillards. Si l'hétérosexualité domine, les scènes homosexuelles représentant des hommes avec des hommes ou des femmes avec des femmes existent en nombre, la préférence sexuelle étant moins rigide à l'époque. Les scènes se déroulent souvent dans le cadre de la vie quotidienne, entre mari et femme. (Source : Wikipédia)













Kitagawa Utamaro (1753–1806) vers 1803






Kitagawa Utamaro (1753–1806) 






Okumura Masanobu (Japon, 1686–1764), période Edo (1615–1868), vers 1739


















































































Utagawa Kuniyoshi (歌川 国芳 1797–1861) 






Utagawa Kuniyoshi (歌川 国芳 1797–1861)






Utagawa Kuniyoshi (歌川 国芳 1797–1861)






Utagawa Kuniyoshi (歌川 国芳 1797–1861)






Utagawa Kuniyoshi (歌川 国芳 1797–1861)