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"La différence entre l'érotisme et la pornographie c'est la lumière". Bruce LaBruce
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dimanche 8 juillet 2018

TÉLÉVISION




CANAL +




1ère Nuit Gay de Canal+ le 23 juin 95




Emmanuel Faure

Danser = Vivre




dimanche 4 mars 2018

The LOVE BOAT
(La croisière s'amuse)

Jack Wrangler

Acteur porno




mercredi 28 février 2018

Télévision





mardi 27 février 2018




mercredi 21 février 2018

TELEVISION




Mapplethorpe 

Look at the Pictures (2016)

De Fenton Bailey et Randy Barbato, USA








Le collectionneur Sam Wagstaff, à gauche, et le photographe Robert Mapplethorpe dans un portrait de Francesco Scavullo en 1974.









Un portrait du sulfureux photographe américain Robert Mapplethorpe, mort du sida en 1989, dont la vie était encore plus scandaleuse que ses photographies. Sa famille, ses amis, ses amants parlent de lui et de son intimité, dans une série d'interviews d'archives inédites, rendues publiques pour la toute première fois. Par son talent, Robert Mapplethorpe a permis à la photographie de trouver sa place au sein de l'art contemporain, grâce à des œuvres qui, au-delà de la disparition de cet artiste visionnaire et audacieux, toujours continuent à faire débat.






Robert Mapplethorpe in 1972







Mapplethorpe



dimanche 28 janvier 2018

Shérif, fais moi peur.





mardi 16 janvier 2018


TÉLÉVISION




ARTE




Les rêves homo de James Bidgood (Pink Narcissus) 1999

















Affiche originale japonaise, 1993




jeudi 30 novembre 2017


TÉLÉVISION





ARTE


Sida, un héritage de l’époque coloniale 

Samedi 2 décembre à 22h40


Lors d’un voyage le long du fleuve Congo en 2007, deux scientifiques (un congolais, un belge) font une découverte qui est en passe de lever le voile sur les origines du VIH. Ils découvrent dans d’anciens hôpitaux des milliers d’échantillons contenant des tissus humains conservés dans la paraffine, prélevés durant l’époque coloniale par des médecins après le décès mystérieux de leurs patients. Avec les moyens d’analyse contemporains, ces échantillons peuvent révéler leurs secrets. Ils révèlent montrent que la pandémie du SIDA est plus ancienne que ce que l’on croyait, et remonte au début du XXème siècle. L’exploitation de l’Afrique par les pouvoirs coloniaux, dans toutes ses dimensions, a créé les conditions qui ont permis à l’infection de se propager. Ce documentaire est une investigation scientifique et un voyage dans l’espace et le temps vers les sources de la maladie.








mercredi 18 octobre 2017



TÉLÉVISION




Stupéfiant !, France 2, le 16 octobre 2017


Yves Saint Laurent, 1936-2008. France


Les dessins interdits de Saint Laurent


Le génie de Saint Laurent, c’était son coup de crayon. On connaît son talent pour dessiner la silhouette de la femme mais on ignorait qu’il croquait aussi les hommes. Des dessins érotiques, des dessins interdits dont « Stupéfiant ! » a retrouvé la trace…













Les dessins ont été exécutés entre 1956 et 1992. Ils avaient été offerts à la fin des années 80 par le créateur à son chauffeur, devenu son compagnon, Fabrice Thomas. Le détenteur actuel, Lothar Gallinat, a mis en vente six dessins érotiques, signés d'un simple "Yves", il y a un mois à peine, à la Code Art Fair, foire d'art contemporain de Copenhague, au Danemark. Il affirme posséder 371 dessins conservés dans le coffre-fort d'une banque suisse à Bâle. On ne sait pas comment Gallinat a récupéré les dessins. La propriété de ces œuvres avait été contestée dans une plainte déposée par Pierre Bergé, ancien compagnon et associé d'Yves Saint Laurent.

La plainte de Pierre Bergé, décédé récemment, avait été déposée en 2011 pour "soustraction frauduleuse, recel et tentative d'extorsion". La procédure était encore en cours lors du décès du mécène le 8 septembre dernier.




En haut à gauche : Pierre Bergé et Fabrice Thomas ; au centre, Fabrice Thomas avec Yves Saint Laurent à l'hôtel Mamounia de Marrakech, au début des années 90 ; en haut à droite, un certificat produit par Fabrice Thomas pour attester de dons de Saint Laurent (collection Fabrice Thomas) ; en bas, des dessins de Yves Saint Laurent dédicacés à Fabrice Thomas.
















Freddie Mercury, portrait imaginatif, vers 1980









vendredi 23 juin 2017



TELEVISION






Tellement gay ! Homosexualité & pop culture 

Réalisation Maxime Donzel



Comment l’homosexualité s’est-elle fait une place dans la pop culture ? Retour en deux parties sur l’affirmation de la culture gay. Premier volet : au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l’homosexualité est pénalisée dans la majorité des pays. Muselée par la censure, la communauté des gays et lesbiennes parvient pourtant à déjouer les interdits en maniant l’art du sous-entendu. 


1. Inside

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l’homosexualité est pénalisée dans la majorité des pays. Aux États-Unis, la nécessité de peupler la nation se traduit par une exaltation du modèle de la famille traditionnelle, renforcée par une propagande contre les homosexuels. Muselée par la censure, la communauté des gays et lesbiennes parvient pourtant à déjouer les interdits en maniant l’art du sous-entendu. La revue Physique pictorial se présente tantôt comme un guide pour photographes amateurs, tantôt comme un magazine de musculation, et publie les dessins de Tom of Finland, qui marqueront durablement la culture gay, avec l’archétype du "cuir-moustache". Côté littérature, les écrits de Jean Genet se diffusent sous le manteau tandis que des écrivains comme Truman Capote ou Gore Vidal mettent discrètement en scène des personnages d’homos positifs. Longtemps soumis au code de censure Hays, le cinéma investit la culture du sous-texte, de Rebecca (Hitchcock) à Ben-Hur (Wyler). Le monde de la nuit, avec ses bars clandestins où fleurissent les spectacles de travestis, participe également à l’épanouissement d’une sexualité encore réprimée par la société. C’est de l’un d’eux, le Stonewall Inn à New York, que partiront, en 1969, les émeutes synonymes d’éclosion du mouvement gay moderne.

Dimension politique

Ce documentaire pétillant et instructif convoque images d’archives et figures de la communauté homosexuelle – des réalisateurs Céline Sciamma et Rosa von Praunheim à la manager de label Fany Corral, des journalistes Christophe Martet, Didier Lestrade et Dan Savage à la célèbre drag-queen Lady Bunny, sans oublier l’actrice et chanteuse Lea DeLaria – pour retracer, sur plus d’un demi-siècle, l’émergence de l’identité gay et son influence sur la pop culture. Cinéma, théâtre, littérature, bande dessinée, musique, mais aussi Gay Pride et autres défilés : Tellement gay ! explore les différents champs d’expression de cette culture, en mettant en exergue son caractère éminemment politique.







Second volet : après les émeutes de Stonewall, les homosexuels "sortent du placard" en pleine période de libération des moeurs. À San Francisco, Harvey Milk porte les espoirs de la communauté gay jusqu'au conseil municipal...

2. Out

Après les émeutes de Stonewall, les homosexuels "sortent du placard" en pleine période de libération des mœurs. Inspirés par les expériences bisexuelles de Lou Reed ou David Bowie, et les Chroniques d'Armistead Maupin, série de romans qui relate le quotidien d'une bande d'amis à San Francisco – où Harvey Milk porte les espoirs de la communauté gay jusqu'au conseil municipal –, des milliers de jeunes font leur coming out. D'abord militant, le cinéma s'empare du thème de l'homosexualité, à l'instar de La chasse de William Friedkin. La chaîne de télévision américaine MTV, lancée en 1981, popularise les excentricités d'Elton John et le réalisme 100 % homo et prolo des Bronski Beat tandis que la communauté commence à être durement frappée par le sida. Dans les années 1990, la télévision invente la figure du "gay bien sous tous rapports", avant que des séries comme The L word ou l'ascension de personnalités engagées comme Ellen DeGeneres ne permettent aux homos de se réapproprier leur culture, tout en restant mainstream.

Dimension politique

Ce documentaire pétillant et instructif convoque images d'archives et figures de la communauté homosexuelle – des réalisateurs Céline Sciamma et Rosa von Praunheim à la manager de label Fany Corral, des journalistes Christophe Martet, Didier Lestrade et Dan Savage à la célèbre drag-queen Lady Bunny, sans oublier l'actrice et chanteuse Lea DeLaria – pour retracer, sur plus d'un demi-siècle, l'émergence de l'identité gay et son influence sur la pop culture. Cinéma, théâtre, littérature, bande dessinée, musique, mais aussi Gay Pride et autres défilés : Tellement gay ! explore les différents champs d'expression de cette culture, en mettant en exergue son caractère éminemment politique.








jeudi 25 mai 2017


TELEVISION






CANAL +

L'oeil du cyclone, 1997



L'Œil du cyclone est une émission d'art alternatif consacrée aux nouvelles images, diffusée sur la chaîne de télévision Canal+, le samedi à 13 heures 30 en clair, de novembre 1991 à juin 1999.
D'une durée de 26 minutes, cette émission d'art alternatif est consacrée aux curiosités visuelles ou sonores, portraits d'artistes, mouvements artistiques, mais aussi raretés diverses, archives internationales, films d'auteurs et documentaires de création, montages musicaux, compilations diverses, etc... jusqu'aux nouvelles images et prenant la forme de reportages et de clips psychédéliques, nourris d'images aux origines les plus diverses, parfois en images de synthèses.



GILBERT et GEORGE













lundi 6 mars 2017



TELEVISION


ARTE



Otto Dix ou le regard impitoyable


La vie et l’oeuvre d’Otto Dix (1891-1969), peintre provocateur au regard sans concession sur la société allemande de l'entre-deux-guerres. Issu d’un milieu populaire, il gardera à vie le souvenir traumatique des tranchées, qu’il a vécues dans sa chair : son oeuvre ne cessera d’explorer les tréfonds de l’âme humaine, sa misère, sa solitude et sa folie belliqueuse.

Peu de peintres ont su mettre à nu leur époque – et briser les tabous artistiques en vigueur – comme l'Allemand Otto Dix (1891-1969). Ce grand représentant de la Nouvelle Objectivité – même s'il ne s'en est jamais réclamé – brosse un portrait cruel et sans concession de son pays, d’une guerre à l’autre. Prostituées, mendiants, gueules cassées de la Grande Guerre, crimes sexuels et pauvreté… : ses œuvres documentent – non sans un certain humour noir – la vie du Lumpenproletariat et les inégalités qui règnent dans une société brisée par la Première Guerre mondiale, où se dessine le spectre du nazisme.

Les tranchées de l'âme

Issu d’un milieu populaire, Dix gardera à vie le souvenir traumatique des tranchées, qu’il a vécues dans sa chair : son œuvre ne cessera d’explorer les tréfonds de l’âme humaine, sa misère, sa solitude et sa folie belliqueuse. Avec l’arrivée au pouvoir d’Hitler, Dix le provocateur verra sa création muselée par l’étiquette nazie d’"art dégénéré", et partira sur le front en 1944-1945. À travers images d’archives, extraits de lettres et interviews rares du peintre ainsi que d’historiens de l’art, ce film dévoile le processus créatif d'un artiste que l’on découvre aussi dans l'intimité.







lundi 20 février 2017



TELEVISION

FRANCE 2

Stupéfiant!


L'ART DU PÉNIS


Présentation Léa Salamé









jeudi 2 février 2017








dimanche 1 janvier 2017



TÉLÉVISION


Dante's Cove, USA









mardi 15 novembre 2016




Claude Véga, 1930. France. Imitateur









Bien, Haysi, tu m'as titillé en me parlant dans ton dernier message de Claude Véga. Du coup je suis allé revoir ses vidéos. J'en installe quelques unes sur le blog. Quel talent. Quel OVNI. Il a été le premier imitateur avec un répertoire féminin. Bien avant Frédéric Lebon décédé en 2013. Claude Véga, lui, est toujours en vie; il a 86 ans et, je l'ai entendu chez Ruquier en février 2016, pète la forme. Allez, un petit coup de wikipédia pour placer le personnage.









Claude Véga, de son vrai nom Claude Thibaudat, né le 2 juin 1930 à Paris (Seine), est un imitateur, humoriste et comédien français. Il est considéré comme le père de l'imitation moderne en France. Il s'est rendu célèbre en imitant les grandes voix du théâtre et du music-hall, aussi bien féminines que masculines. Certaines de ses « performances » restent gravées dans les mémoires. (NDLR : Bizarre ce wikipédia!)






Claude Vega imite Nicole Croisille









Claude Véga imite Barbara
















Claude Véga imite Barbara, 1979
















Claude Véga imite Annie Girardot, 1978

















Claude Véga imite Alice Sapritch - "Je suis heureuse", 1975

















Claude Véga imite Maria Callas





















Claude Véga imite Maria Callas en sa présence lors de l'émission "L'invité du dimanche" sur Antenne 2, le 20 avril 1969

































Claude Véga a été nommé officier dans l'Ordre des Arts et des Lettres en janvier 2010.




TÉLÉVISION




CANAL +

L'OEIL DU CYCLONE






COMING OUT



Rémi Lange, 1969. France



LES ANGES DANS NOS CAMPAGNES

Documentaire 1994 couleur 26 min



Un jeune homme, fatigué d'écrire et de réécrire un scénario, décide un beau jour d'abandonner la fiction et de commencer un journal filmé. A l'aide d'une vieille caméra Super 8 sonore, il enregistre la vie de tous les jours.

Mais parce qu'il trouve sa vie ordinaire, il décide d'avouer à sa famille, caméra à l'épaule, qu'il a un copain depuis trois ans...



Connu en France pour ses journaux filmés sortis en salle à la fin du siècle dernier, Omelette (1993-98, entré dans la collection du Musée National d'Art Moderne / Centre Georges-Pompidou en 2000, diffusé sur Canal +, étudié dans les universités comme l’un des journaux filmés de l’histoire du cinéma) et Les Yeux brouillés (1999), Rémi est également l'auteur de 13 autres films sortis directement en DVD, diffusés à la télévision ou en festivals, aussi bien en France qu’à l’étranger.

« Contrairement à ses deux premiers opus Omelette et Les Yeux brouillés, les films ultérieurs de Rémi Lange ne sont pas ouvertement autobiographiques, même s’il garde toujours un rapport ambigu avec la réalité (…). L’esthétique de ces films évoque le faux documentaire (…). Explorant les différentes facettes de la sexualité, et surtout de l’homosexualité, riches en personnages et événements, jouant sur une esthétique décalée, qui fait appel à l’ironie autant qu’au mélodrame, ces œuvres, où apparaissent les acteurs et actrices fétiches du cinéaste, participent à l’établissement d’un cinéma et d’une culture underground en France. » (Yekhan Pinarligil, collection.centrepompidou.fr/).



Partie 1.






Partie 2.