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"La différence entre l'érotisme et la pornographie c'est la lumière". Bruce LaBruce
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dimanche 16 octobre 2016




Albrecht Dürer, 1471-1528. Allemagne





Hercule, 1498-1499




mardi 4 octobre 2016




Albrecht Dürer, 1471-1528. Allemagne 






Adam (Dessin préparatoire), 1504



dimanche 11 septembre 2016




Albrecht Dürer, 1471-1528. Allemagne






Figure pour la Procession Triomphale de 1517 pour l'empereur Maximilien Ier




jeudi 3 septembre 2015




Albrecht Dürer - 1526









mardi 28 octobre 2014



Albrecht Dürer






vers 1515




jeudi 12 juillet 2012

Retour sur...Albrecht Dürer (1471-1528)










Autoportrait aux gants, 1498






Autoportrait à la fourrure, 1500




Les chercheurs du Germanisches Nationalmuseum de Nuremberg ont fait une découverte étonnante. Dürer aurait bien été homosexuel. Ils avancent cette hypothèse après avoir passé aux rayons X l'un des nombreux portraits que Dürer a fait de son meilleur ami, Willibald Pirckheimer, juriste et humaniste allemand qui fut le conseiller de l'empereur Maximilien Ier puis de Charles Quint et qui a probablement fait l'apprentissage classique et humaniste de Dürer. L'examen de ce portrait révèle une inscription en grec qui serait de la main du peintre et graveur en forme de dédicace: "avec ma bite dans ton cul".


(source Tétu magazine. Juillet/Aout 2012)









Portrait de Willibald Pirckheimer, 1503






Portrait de Willibald Pirckheimer, 1524






Autoportrait à l'age de 13 ans, 1484






Autoportrait nu, 1505






Autoportrait, 1521

mercredi 29 juin 2011

Le nu masculin chez Albrecht Dürer (1471-1528. Allemagne)





autoportrait, 1500 huile sur bois




Albrecht Dürer, né le 21 mai 1471 et mort en 1528 à Nuremberg est un peintre, graveur et mathématicien allemand. Il signera Albertus Dürer Noricus (de Nuremberg) ou Dürer Alemanus ou encore le plus souvent de son monogramme.

L’œuvre de Dürer s’inscrit historiquement dans une époque de transition entre le Moyen Âge et la Renaissance. Les grands bouleversements politiques, économiques, sociaux et religieux s’accompagnèrent d’innovations considérables dans le domaine culturel. Les principes nouveaux de la Renaissance furent confrontés dans les pays germaniques à l’influence gothique germano-flamande. Dürer réalisa la synthèse de ses courants dans une œuvre universelle.




Autoportrait, 1498




Dürer passa son enfance dans l’atelier d’orfèvre de son père dont il apprit le métier. À quinze ans, il s’orienta vers la peinture et entra dans l’atelier du peintre Michaël Wolgemut (1432-1519) où se pratiquait aussi l’illustration de livres. C’est là que Dürer dessina sans doute pour les graveurs sur bois, et s’exerça à graver ses premiers bois. C’est là aussi peut-être qu’il découvrit les célèbres gravures de l’école de Ferrare, connues sous le titre d’usage Tarots de Mantegna dont il dessina librement vingt et une figures.




Autoportrait en tant qu'homme des tritesses, 1522




Il devait procéder de même plus tard avec d’autres gravures italiennes notamment des estampes de Mantegna. À dix-huit ans, il entreprit son tour de compagnonnage qui le mena à Colmar, la patrie de Martin Schongauer, et dans les citadelles de l’édition, Bâle, où il participa aux illustrations des Comédies de Térence, du Chevalier à la tour et de La Nef des fous, puis Strasbourg.




Autoportrait nu, 1505




De retour à Nuremberg en 1494, il épousa Agnès Frey, et, en automne, partit pour l’Italie, entraîné dans ce voyage par son ami Willibald Pirckheimer qui fut l’un de ceux qui introduisirent l’humanisme en Allemagne. Il se rendit à Venise, et peut-être à Padoue et à Mantoue. Ce séjour fut déterminant pour lui.

Il rencontra notamment Jacopo de Barbari qui lui fit entrevoir le secret de la beauté idéale, les nouvelles théories, bouleversant ainsi ses conceptions esthétiques. Durant le trajet de retour, Dürer, sensible aux paysages traversés et à la nature, exécuta une série d’aquarelles révélant un autre aspect de son art, plus proche de l’observation directe que des études influencées par la théorie.




Autoportrait, 1521




Puis Dürer ouvrit son atelier à Nuremberg. La cité connaissait alors son âge d’or, rayonnement spirituel et prospérité économique. C’est dans ce contexte très favorable que l’artiste, grâce au mécénat de Frédéric le Sage, et plus tard à celui de l’empereur Maximilien, exécutera plus de soixante-seize peintures, plus d’un millier de dessins sans compter les nombreuses attributions, cent soixante-dix xylographies, une centaine de gravures en taille-douce et, vers la fin de sa vie, écrira trois livres de théorie sur les proportions du corps humain et les lois de la perspective.




Mains en prière, 1508




En 1519, Dürer effectua un voyage en Suisse, et l’année suivante, il se rendit aux Pays-Bas, où il rencontra entre autres, l’humaniste Érasme, les peintres Quentin Metsys, Patinir, Lucas de Leyde, Barend Van Orley et étudia les maîtres flamands. Il tint un journal riche d’informations qui est conservé. Son activité créatrice se ralentit.

Sensible à la Réforme, l’artiste, éprouvé par les troubles religieux, ne se rallia pas cependant aux réactions excessives qu’ils entraînèrent. Il semble aussi qu’il fut ému par les révoltes paysannes de 1525, sauvagement réprimées. Dürer mourut le 6 avril 1528. Son génie visionnaire, universel, avait été, quelques années plus tôt, consacré par Érasme dans une lettre à Pirckheimer : "Un artiste comme lui serait digne de ne jamais mourir."

(source: BNF.fr)



Gestas (le mauvais larron)





Etude d'un couple nu et du diable





St-Sébastien à la colonne, 1499





nus d'homme et de femme, 1515





La resurrection, 1512





La flagellation du Christ, 1512





La chute de l'homme (Adam et Eve), 1504





Cinq hommes nus, 1526





Ecce Homo, date inconnue





Adam et Eve, 1507





La grande Passion, 1510





Die Eifersucht (La jalousie), 1498





Das Männerbad (Le bain des hommes), date inconnue





Le corps du Christ





Bacchanales avec Silenus





Apollon avec le disque solaire, ca 1501-1504





Paumgartner Altar, 1503





Apollon et Diane, ca 1503-1504





Lamentation du Christ





Hercule et l'oiseau stymphalien





L'enlèvement des Sabines, 1495