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"La différence entre l'érotisme et la pornographie c'est la lumière". Bruce LaBruce
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lundi 22 janvier 2024

La nuit Gay - Canal Plus (1995) 

 Danser = Vivre

 


 

samedi 21 décembre 2019

Serge Gainsbourg & Jane Birkin - Je t'aime... moi non plus/Original vide...

Serge Gainsbourg & Jane Birkin - Je t'aime... moi non plus

Original videoclip (Fontana 1969)



vendredi 14 septembre 2018

Severija Janušauskaitė



Zu Asche, Zu Staub (Psycho Nikoros) 

(Chanson de la série Babylon Berlin)


E

(Elias Koskimies, 1974. Finlande)


I've Only Just Begun




Page Facebook




"This is a film Putin should watch. Let's start a revolution." - Madonna.



MURDERER


Walking down this lonely road
They closed their eyes and shut the doors
They've never heard
The beating of my heart
I'm walking down this silent road
Not begging 'em to come along
They've never heard
The beating of my heart

I'm rising to the occasion
Not walking by the beat of their drums
I'm ready to start the revolution
I have only just begun
I have only just begun
I have only...just begun

Walking down this crazy road
It's so absurd I'm laughing out
They've never heard
The beating of my heart
If I'll lose one battle here and there
I'll walk away like I don't care
I'm gonna end up
Somewhere I belong

I'm rising to the occasion
I'm not walking by the beat of their drums
I'm ready to start the revolution
I have only just begun
I have only just begun

Walking down this lonely road
They close their eyes and shut the doors
They've never heard
The beating of my heart
I'm walking down this silent road
Not begging 'em to come along
They've never heard
The beating of our hearts

I'm rising to the occasion
Not walking by the beat of their drums
I'm ready to start the revolution
I have only just begun
I have only just begun

vendredi 17 août 2018

Chris(tine and the Queens)

5 dollars





Every absent-minded day
I let myself carried away
Then you get 5 dollars, baby blues, 5 dollars baby

Kneeling down for all they cared
You let them pay and went ahead
It is still 5 dollars, baby blues, 5 dollars baby

You’re eager and unashamed
I grieve by dying every night baby
Prove them wrong when you get
5 dollars

You’re eager and unashamed
I don’t think the race is over baby
Prove them wrong when you get
5 dollars

Some of us just had to fight
For even being looked at right
Then you get 5 dollars, baby blues, 5 dollars baby

Pockets full and dried eyes
It turns me on because it’s timed
Now throw me 5 dollars baby blues, 5 dollars baby
Throw me 5 dollars baby

You’re eager and unashamed
I grieve by dying every night baby
Prove them wrong when you get
5 dollars

You’re eager and unashamed
And I don’t think the race is over baby
Prove them wrong when you get
5 dollars

samedi 21 juillet 2018

Pierre-Jean de Béranger, 1780-1857. France






Les chansons érotiques de P.J. Béranger, 1923 (1926)

Aux dépends d'un amateur











LES CULOTTES,

CHANSON EN MANIÈRE D’ORDURE,


Faite par ce polisson de Gilles, dessus mam’zelle Zirzabelle, qui aime à se mettre en homme, parce que ça lui fait plaisir.


Air : Tout le long de la rivière.


Zirzabelle, est-c’ ben vous que j’vois?
J’vous r’connaissons à vot’ minois;
Est-c’ encor’ mam’zell’ qu’on vous nomme?
Vous voilà costumé’ zen homme.
C’t habit raplatit vos appas,
Qu’aujourd’hui vous n’étalez pas.
Rien d’moins gênant zavec vous qu’une cotte,
Mam’zelle, ôtez donc, ôtez vot’ culotte;
Mam’zelle, ôtez donc vot’ culotte.

Changer de sesque, c’est fort mal
Quand on n’est plus dans l’carnaval;

P’t-être aussi qu’vous changez d’manière,
Et qu’aux femmes vous voulez plaire;
Ce s’rait deux bons goûts à la fois,
J’vous crois fait’ pour en avoir trois.
Mais, d’queq’côté qu’on vous porte une botte,
Mam’zelle, ôtez donc, ôtez vot’ culotte;
Mam’zelle, ôtez donc vot’ culotte.

Comme l’amour rend zinconstant!
J’finis par trouver ça piquant.
Permettez que j’vous déboutonne…
Mais, jarni, ne vient-il personne?
On peut nous voir de c’te façon,
Et vous prendre pour un garçon.
Pour qu’on n’dis’ pas qu’j’ai changé de marotte,
Mam’zelle, ôtez donc, ôtez vot’ culotte;
Mam’zelle, ôtez donc vot’ culotte.

Dépêchez, ou j’vais par-dessus
Vous fair’ un’ boutonnièr’ de plus…
Mais v’là que j’vous tache, mam’zelle,
C’est la faute de vot’ bretelle :
Plus qu’mon amour elle tenait;
Bonsoir, j’ai remis mon bonnet.
Sans étrenner, r’mettez tout dans la hotte,
Mam’zell’, montez donc, montez vot’culotte;
Mam’zell’, montez donc vot’culotte.

Mesdam’s, la morale est mon fort;
Or donc, notre habit vous fait tort.

Ne prenez c’costume nuisible
Que pour tromper, si c’est possible,
Les homm’s impurs qui sont l’effroi
Des jolis garçons comme moi.
Autrement qu’ça, dit l’Saint-Père aux dévotes,
Mesdam’s, n’mettez qu’la main dans les culottes,
N’mettez qu’la main dans les culottes.






SERMON D’UN CARME,

SEUL MANUSCRIT TROUVÉ DANS L’UNE DES MAISONS DE CET ORDRE, QU’ON DEVRAIT S’EMPRESSER DE RÉTABLIR.
AINSI SOIT-IL.


Air : Chantons lætamini.


Un carme, à ses ouailles,
Tous gens de goûts suspects,
Disait : Corbleu ! canailles,
Vos péchés sont infects.
Eh! fi! fi! fi! fi! fi!
Est-ce ainsi qu’on vous fit?

Ô Bulgares ! vous êtes
Atteints et convaincus
De faire des cornettes
Et jamais de cocus!
Eh! fi! etc.

Vous tombez dans le schisme,
Et c’est, en vérité,
Prendre le paganisme
Par le vilain côté.
Eh! fi! etc.


Du ciel vos goûts étranges
Font votre exclusion :
Vous perdriez les anges
De réputation.
Eh! fi! etc.

Avec vous, fille sage
Perdant ainsi son droit,
Fait de son pucelage
Une bague à son doigt.
Eh! fi! etc.

Qui ne juge aux harangues
Des Saphos de nos jours
Que ces mauvaises langues
Font la guerre aux amours?
Eh! fi, etc.

Quand vous fuyez ces dames,
Seul, que ne puis-je, hélas !
Suffire à tant de femmes!
Je ne vous dirais pas :
Eh! fi, etc.

Si des feux de Gomorrhe
Rien ne peut nous sauver,
Qu’en moi Dieu voie encore
Un homme à conserver.
Eh! fi! fi! fi! fi! fi!
Est-ce ainsi qu’on vous fit?






LES ARCHERS DE L’AMOUR.

Air : Oh! voilà la vie.

L’Amour sur son trône,
Dit à ses sujets :
« Sans fixer à l’aune
« Le prix des objets,
« J’exige qu’on tende
« Mon arc tour à tour.
« Archers, que l’on bande,
« L’on bande,
« L’on bande;
« Archers, que l’on bande
« Cette arme de l’Amour!


« Montrez à ma mère
« Tout votre savoir;
« Elle va vous faire
« Tirer dans le noir.
« C’est moi qui commande,
« Sans bruit ni tambour :
« Bien ferme qu’on bande,
« Qu’on bande,
« Qu’on bande;
« Bien ferme qu’on bande
« Cette arme de l’Amour! »

Lors, parmi les vierges
S’avance un vieillard.
« Qu’on le passe aux verges, »
Dit Vénus à part :
« Qu’il soit de ma bande
« Banni sans retour :
« Jamais il ne bande,
« Ne bande,
« Ne bande;
« Jamais il ne bande
« Cette arme de l’Amour. »

Vient de Ganymède
Un amant damné.
Vénus crie à l’aide,
Se pince le nez,
Et dit : « Qu’il s’amende,
« Ou bien, nuit et jour,

« Sans tirer, qu’il bande,
« Qu’il bande,
« Qu’il bande;
« Sans tirer, qu’il bande
« Cette arme de l’Amour! »

Puis elle examine
L’arc et son ressort :
Sous sa main badine
Il se tend d’abord.
Sensible à l’offrande,
Vénus, en retour,
Fait tout pour qu’on bande,
Qu’on bande,
Qu’on bande;
Fait tout pour qu’on bande
Cette arme de l’Amour!

Elle est toute nue,
Étalant aux yeux
Sa croupe charnue,
Son sein merveilleux.
Une ardeur si grande
Enflamme sa cour
Que partout l’on bande,
L’on bande,
L’on bande;
Que partout l’on bande
Cette arme de l’Amour!


À l’archer qui touche
Offrant un tribut,
Vénus qui se couche
Dit : « Voilà le but…
« Que le trait s’y rende,
« Droit ou par détour.
« Tout va dès qu’on bande,
« Qu’on bande,
« Qu’on bande;
« Tout va dès qu’on bande
« Cette arme de l’Amour! »

Tous prenant le large,
Font dix coups de plus.
« Dieux! quelle décharge!
« S’écria Vénus;
« Mais, je le demande,
« Par quel mauvais tour
« Faut-il qu’on débande,
« Débande,
« Débande;
« Faut-il qu’on débande
« Cette arme de l’Amour? »






LA MARRAINE.


Air : J’ai vu la boulangère.


Marraine, qui nous instruisez
Dès qu’au monde nous sommes;

Rien qu’à l’tenir, vous qui prisez
L’cœur de messieurs les hommes,
J’suis en âge d’avoir un amant,
Dit’s-moi donc, ma marraine,
Comment,
Comment qu’y faut qu’je l’prenne?

J’vois deux morveux qui m’font la cour
Se frotter à ma jupe ;
L’un a l’nez long, l’autre a l’nez court,
Et c’est là c’qui m’occupe ;
Ces deux morveux sont bien tournés;
Dit’s-moi donc, ma marraine,
Est-ce au nez,
Au nez qu’y faut qu’je l’prenne?

L’un est brun, bien dru, bien droit,
Plein d’esprit et d’bravoure ;
Ôtez-lui la main d’un endroit,
Dans un autre il la fourre ;
Dru comme il est, j’aurais d’son cru ;
Dit’s moi donc, ma marraine,
Est-ce le dru,
Le dru qu’y faut que j’prenne?

L’autre est un roux dur et sournois,
Tout frais v’nu de sa province,
Qui n’me fait rien qu’en tapinois,
Qui m’chatouille et qui m’pince;
Dur comme il est, c’est un homm’sûr;

Dit’s-moi donc, ma marraine,
Est-c’le dur,
Le dur qu’y faut que j’prenne?

L’un n’est pas plus haut que cela,
Mais y n’lui faut point d’aide ;
Quand je l’tiens dans ces cinq doigts-là,
Jarni, comme il est raide!
Tout p’tit qu’il est, y m’divertit ;
Dit’s-moi donc, ma marraine,
Est-c’le p’tit,
Le p’tit qu’y faut que j’prenne?

L’autre est si gros que je n’crois point
Que par ma porte il passe ;
Mais rien n’lui va comm’l’embonpoint,
Car jamais y n’se lasse ;
Gros comme il est, ça n’a point d’os ;
Dit’s-moi donc, ma marraine,
Est-ce l’gros,
Le gros qu’y faut que j’prenne?

Le choix vous semble embarrassant,
J’en juge à vot’silence ;
Vot’filleule a l’cœur innocent,
C’est pour ça qu’ell’balance.
Peur de faire un choix hasardeux,
Dites-moi donc, ma marraine,
Est-c’ les deux,
Les deux qu’y faut que j’prenne?




mercredi 11 juillet 2018


Mylène Farmer & LP 

N’oublie pas 

 Vidéo de Laurent Boutonnat 


dimanche 8 juillet 2018

TÉLÉVISION




CANAL +




1ère Nuit Gay de Canal+ le 23 juin 95




Emmanuel Faure

Danser = Vivre




samedi 16 juin 2018


Prince

lundi 30 avril 2018


Qui ça?

samedi 28 avril 2018



Fist Goodbody’s Traveling Torture Show

vendredi 27 avril 2018

MUSIQUE



Alain Bashung, 1947-2009. France



Alain Bashung par Antoine Le Grand, 2005


 Madame Rêve








Madame rêve d'atomiseurs
Et de cylindres si longs
Qu'ils sont les seuls
Qui la remplissent de bonheur
Madame rêve d'artifices
De formes oblongues
Et de totems qui la punissent
Rêve d'archipels
De vagues perpétuelles
Sismiques et sensuelles
D'un amour qui la flingue
D'une fusée qui l'épingle
Au ciel
Au ciel
On est loin des amours de loin
On est loin des amours de loin
On est loin
Madame rêve ad libitum
Comme si s'était tout comme
Dans les prières
Qui emprisonnent et vous libèrent
Madame rêve d'apesanteur
Des heures des heures
De voltige à plusieurs
Rêve de fougères
De foudres et de guerres
À faire et à refaire
D'un amour qui la flingue
D'une fusée qui l'épingle
Au ciel
Au ciel
On est loin des amours de loin
On est loin des amours de loin
On est loin
Madame rêve
Au ciel
Madame rêve
Au ciel
Madame rêve

Paroliers : Alain Bashung / Pierre Grillet

dimanche 22 avril 2018


(Clip Officiel)

Eddy de Pretto

Nouvel album - CURE



Normal









Penses-tu qu'j'suis responsable
Penses-tu qu'tu sors du tas
Penses-tu mais pour qui tu t'prends ?
Tu t'crois saint, t'es juste insultant
Tiens pour une fois reste sans voix,
Et rassures toi je ne contamine pas
Puis assure moi qu'avec ton p'tit minois
Tout restera simple et courtois
Non, ne m'accuse pas, me descend pas
De pédéraste jusqu'au bout des doigts
Si tu veux crie que t'es plus fort que tout,
Sans rouge vernis et fard à joue
Tu tentes de m'tuer de tes remarques
De me vider à coup de hache
Mais jeune homme, sais-tu seulement,
Que j'me maquille pour t'rentrer dedans
Ça y est ça te glace le sang,
Que tu sois gars ne soit qu'un minime détail.
Que tu sois charme tout presque comme une dame
Donc donne pas ton âme au diable.


Et le pire fais attention garçon
Faire joujou dans ton p'tit pantalon
Peut m'provoquer d'fines réactions
Allez tournes toi dégage, que j'tape le fond

Je suis complètement normal, complètement banal
Je suis complètement normal, je suis con tellement malade
Je suis complètement normal, complètement banal
Je suis complètement normal, je suis con tellement malade

Oups, pardon j'ai eu tort
D'habitude je mets des gants
J'ai laissé mes manières dehors
Pour un mec comme moi, c'est étonnant
Car oui bon j't'ai pas tout dit
Bienvenu là où tu peux faire ta comédie .
Surtout jouer à faire ce que tu as envie
A toi de voir si ce soir tu me suis
Sinon insulte moi et descends moi
De contre-nature, oh la belle injure!
Ça t'froisse, ça t'coince, ça t'stress.
Allez bouges et serre les fesses
Puis ne reviens plus m'voir avec tes gros sabots,
Pour semer le fiasco en venant ici
En jetant des mots sans parcimonie
Des grands mots qui font froid dans le dos
Car

Je suis complètement normal, complètement banal
Je suis complètement normal, je suis con tellement malade
Je suis complètement normal, complètement banal
Je suis complètement normal, je suis con tellement malade

Si tu sais certains l'font, des nœuds d'secours
D'autres fabriquent des cabanes de clous
Certains se cachent à travers la foule
Et d'autres avis, bien, le refoulent
Alors si toi tu t'sens beaucoup plus sain
Dans ta p'tite vie, ton p'tit train-train
Saute les toutes et trace ta route
Ne t'en fais pas, bel assassin

Je suis complètement normal, complètement banal
Con, tellement malaaaaa..

Es-tu complètement normal ?
Complètement banal ?
Complètement normal ?
Complètement banal ?
A-al

Es-tu complètement normal ?
Complètement banal ?
Complètement normal ?
Complètement banal ?
A-al



Julien Doré, France

 Coco Câline

Allez, un petit Karaoké, ça faisait longtemps. Musique à fond!




samedi 14 avril 2018

Jake Shears

Scissor Sisters










































samedi 7 avril 2018

MUSIQUE


Marc Almond- Ruby Red, 1987






Well it seems you have a heart
I saw it once so I know it's true
You let it out on Sundays when
You let it beat me black and blue
When you went and stole my heart
I saw it go so I know it's true
It was a ruby, ruby, ruby red
It was the most precious gift I could give to you

It was as red as the sun in the evening sky
It was as red as the fire in a panther's eye
It was as red as the rose under the summer sun
Like a fire from a killer's gun

Ruby, ruby red
Shine a light onto this boy's bed
There's a street lamp glowing in my head
Oh, Ruby, ruby, ruby red

Well it seems you have a soul
You let it go so I know it's true
It was a ruby, ruby, ruby red
It keeps me warm when I'm feeling sad and blue
Well you went and stole my heart
I saw it go so I know it's true
I wrapped it up in a bouquet of barbed wire
It was the wickedest gift I could give to you

It was as red as the sun in the evening sky
It was as red as the fire in a panther's eye
It was as red as the rose under the summer sun
Like a fire from a killer's gun

Ruby, ruby red
Shine a light onto this boy's bed
There's a street lamp glowing in my head
Oh, Ruby, ruby, ruby red

Oh just like Johnny Rio baby
I need to be desired
I give up looking for my past
For the ones I left behind
Ruby red, ruby red, hey, hey, hey

Ruby, ruby red
Shine a light onto this boy's bed
There's a street lamp glowing in my head
Oh, Ruby, ruby, ruby red

It was the most precious jewel
I could give to you
Colour me red when I'm feeling blue
The colour of a kiss
In a young girl's dream
The mark of a guillotine
A drop of blood from a single thorn
Red wet sheets in the afternoon
A red light leading to my tomb
Ruby red all around my room

Ruby, ruby red
Oh shine a light onto this boy's bed
Oh, ruby, ruby, ruby red

Paroliers : Marc Almond, 1987 Album : Mother Fist and Her Five Daughters




samedi 24 mars 2018

Diana Ross - I Want Muscle 1982





vendredi 16 mars 2018

Bette Midler 

The Rose, 1979






Marvin Gaye

Heard It Through The Grapevine (Live at Montreux)