LE NU MASCULIN DANS L'ART
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Homosexualité masculine et culture art peinture dessin photographie cinéma littérature sculpture histoire et bien d'autres choses...
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"La différence entre l'érotisme et la pornographie c'est la lumière". Bruce LaBruce
Nous autres, enfants des années 60, grâce à ces solides bases, nous savons désormais porter nos choix vestimentaires sur les pièces les plus passe-partout possible.(et accessoirement sur Gordon Grant en pantalon de pyjama rouge).. Haysi
Oui mon dieu j'ai porté des choses approchantes mais peut-être pas aussi horribles. Mais je me souviens de sous-pulls acryliques de couleur flashy et de pantalons à carreau. Que c'était laid. Heureusement la mode a changé.
Oui le sous-pull 100% acrylique orange, avec le col tellement étroit, qu'il faut batailler ferme pour l'enfiler, en se disant que si on grandit ne serait-ce que d'un ongle dans la journée, jamais, non jamais on ne parviendra à l'enlever, et puisque le soir venu il faut bien s'en défaire, quasi au forceps, les cheveux électrostatiques tiennent debout longtemps après que l'on se soit couché. Haysi
Description très drôle et très juste. Je vois qu'on a porté les mêmes choses. J'ai ressorti quelques vielles photos pour rire. Il faut dire que quand même il ne fallait pas avoir honte pour porter de telles fripes. Mais c'était la mode. Et ça fait des souvenirs joyeux. Pour l'électricité statique, c'est vrai qu'on se prenait de sacrées décharges.
Nous autres, enfants des années 60, grâce à ces solides bases, nous savons désormais porter nos choix vestimentaires sur les pièces les plus passe-partout possible.(et accessoirement sur Gordon Grant en pantalon de pyjama rouge)..
RépondreSupprimerHaysi
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RépondreSupprimerOui mon dieu j'ai porté des choses approchantes mais peut-être pas aussi horribles. Mais je me souviens de sous-pulls acryliques de couleur flashy et de pantalons à carreau. Que c'était laid. Heureusement la mode a changé.
RépondreSupprimerAmitié
Snoopy
Oui le sous-pull 100% acrylique orange, avec le col tellement étroit, qu'il faut batailler ferme pour l'enfiler, en se disant que si on grandit ne serait-ce que d'un ongle dans la journée, jamais, non jamais on ne parviendra à l'enlever, et puisque le soir venu il faut bien s'en défaire, quasi au forceps, les cheveux électrostatiques tiennent debout longtemps après que l'on se soit couché. Haysi
RépondreSupprimerDescription très drôle et très juste. Je vois qu'on a porté les mêmes choses. J'ai ressorti quelques vielles photos pour rire. Il faut dire que quand même il ne fallait pas avoir honte pour porter de telles fripes. Mais c'était la mode. Et ça fait des souvenirs joyeux. Pour l'électricité statique, c'est vrai qu'on se prenait de sacrées décharges.
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