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"La différence entre l'érotisme et la pornographie c'est la lumière". Bruce LaBruce
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samedi 29 août 2015




Walter Baumhofer












Eadweard Muybridge 





















Guido Reni, 1575–1642. Italie





Samson victorieux, 1611. Huile sur toile. Pinacothèque nationale, Bologne, Italie






Pat Burnham & Kenny Owens, USA, années 60












































vendredi 28 août 2015




Oscar Wilde, 1854-1900. Irlande














J'avais gâché mon enfance, il est vrai
Mais ce fut pour vous,
Vous aviez assez de poètes dans votre bibliothèque,
Je me suis donné à vous !
Eh bien, si mon coeur doit se briser,
Cher Amour, pour vous,
Il se brisera en musique, je le sais;
Le coeur des poètes se brise ainsi.
mais il est étrange qu'on ne m'ait pas dit
que le génie peut tenir
dans une minuscule alvéole d'ivoire
Paradis et Enfer divin.

Oscar Wilde



Merci à Stéphane pour cette traduction.






Harold Knight, 1874-1961. Angleterre





Posing Male Nude, 1931. Huile sur toile 76,3 x 50,8 cm.






Charles Mazelin, 1882-1968. France






Académie





Royale Studio, Angleterre











Rolf Armstrong, 1889_1960. USA


Le peintre des pin-ups




Autoportrait, 1915





MARIN


























































Ernest Cadine, 1893-1978. France. Haltérophile











































































































Joseph Radoccia





And the Kiss, oil on panel





















L'Inde mystérieuse



















































MEL ODOM, USA











Keith Vaughan











PLATO





John Converse, années 60






"Toreador en garde!"











Robert Massard "L'air du Toréador" tiré de l'opéra "Carmen" de Georges BIZET, 1966










Votre toast, je peux vous le rendre,
Señors, señors, car avec les soldats
Oui, les Toreros peuvent s'entendre,
Pour plaisir, pour plaisir, ils ont les combats.
Le cirque est plein, c'est jour de fête,
Le cirque est plein du haut en bas,
Les spectateurs perdent la tête,
Les spectateurs s'interpellent à grand fracas.
Apostrophes, cris et tapage
Poussés jusque à la fureur.
Car c'est la fête du courage,
C'est la fête des gens de coeur !
Allons ! en garde ! allons ! allons ! Ah !

Toréador en garde
Toréador, toréador !
Et songe bien, oui, songe en combattant,
Qu'un oeil noir te regarde
Et que l'amour t'attend,
Toréador,
L'amour, l'amour t'attend.

Tout d'un coup on fait silence,
On fait silence, Ah ! que se passe-t-il ?
Plus de cris, c'est l'instant !
Plus de cris, c'est l'instant !
Le taureau s'élance en bondissant hors du toril.
Il s'élance, il entre, il frappe,
Un cheval roule, entraînant un picador.
"Ah ! bravo ! Toro !" hurle la foule.
Le taureau va... il vient... il vient et frappe encore !
En secouant ses banderilles,
Plein de fureur il court !
Le cirque est plein de sang.
On se sauve on franchit les grilles.
C'est ton tour maintenant.
Allons ! en garde ! Allons ! Allons ! Ah !

Toréador en garde
Toréador, toréador !
Et songe bien, oui, songe en combattant,
Qu'un oeil noir te regarde
Et que l'amour t'attend,
Toréador,
L'amour, l'amour t'attend.

Toréador, l'amour, t'attend !
L'amour t'attend !