LE NU MASCULIN DANS L'ART . . . . Homosexualité masculine et culture art peinture dessin photographie cinéma littérature sculpture histoire et bien d'autres choses...
samedi 16 avril 2011
lundi 11 avril 2011
Retour sur...John Singer Sargent (1856-1925)
Voir article précédent sur ce blog
Atlas and the Hesperides, 1925
Study of a Young Man
Man wearing laurels
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Atlas and the Hesperides, 1925
Study of a Young Man
Man wearing laurels
dimanche 10 avril 2011
Willibrord Haas (1936- Allemagne)
Depuis Albrecht Dürer, les nus masculins ont été un sujet populaire pour les artistes allemands. Dans le tumulte de Berlin d'aujourd'hui, Willibrord Haas, qui est déjà connu pour ses œuvres d'art abstrait, utilise des techniques qui sont encore plus anciennes que Dürer pour exprimer des opinions contemporaines du corps masculin.
Comme ces images le montrent, Willi utilise une variété de procédés de gravure (ainsi que la peinture et dessin), mais il a une affinité particulière pour la pointe sèche, avec laquelle il trace des rayures directement dans la plaque de métal. Après le dessin terminé, l'encre est frottée sur les rayures et il essuie le reste de la plaque. Les ombres et les reflets sont possibles en essuyant certaines parties plus fortement que d'autres, ce qui peut donner à chaque œuvre une individualité de gravure qui n’est pas possible avec la plupart des méthodes de reproduction.
Contrairement à de nombreux graveurs, Haas fait son propre travail d'impression dans son atelier. "Certaines gravures sont tirées de mes propre photographies" «il ya 5 ans j'ai commencé à faire des images photo avec mes modèles."
Comme ces images le montrent, Willi utilise une variété de procédés de gravure (ainsi que la peinture et dessin), mais il a une affinité particulière pour la pointe sèche, avec laquelle il trace des rayures directement dans la plaque de métal. Après le dessin terminé, l'encre est frottée sur les rayures et il essuie le reste de la plaque. Les ombres et les reflets sont possibles en essuyant certaines parties plus fortement que d'autres, ce qui peut donner à chaque œuvre une individualité de gravure qui n’est pas possible avec la plupart des méthodes de reproduction.
Contrairement à de nombreux graveurs, Haas fait son propre travail d'impression dans son atelier. "Certaines gravures sont tirées de mes propre photographies" «il ya 5 ans j'ai commencé à faire des images photo avec mes modèles."
Nicolai Abraham Abildgaard (1743-1809. Danemark))
Figure majeure de l'art nordique de la fin du XVIIIe siècle, Nicolaï Abildgaard s'impose comme un coloriste hors pair. Formé à l'Académie de Copenhague, puis à Rome dès 1772 où il se passionne pour Fuseli, le peintre est l'auteur de portraits, d'esquisses et de fresques, à la fois teintées de romantisme et de néoclassicisme.
Cinq ans plus tard, il retourne au Danemark et commence à peindre dans un style très traditionnel, comme en attestent ses oeuvres illustrant les auteurs romains Terence et Apulée. Directeur de l'Académie de Copenhague de 1789 à 1791, l'artiste est également sculpteur, architecte, et dessinateur de costumes de théâtre et de meubles.
Exposé au Palazzo dei Diamanti de Ferrara en 2003, ou au Statens museum for kunst de Copenhague en 2007, son oeuvre fait aussi partie des collections permanentes du Nordjyllands Kunstmuseum d'Aalborg ou du Ny Carlsberg Glyptotek de Copenhague. S'il est tributaire de la veine néoclassique danoise, son art s'impose avant tout comme une peinture révolutionnaire, tant sur les plans esthétiques que politiques. Et c'est sans doute cette fusion d'un ancrage typiquement nord-européen et d'idées universelles influencées par la pensée des Lumières qui fait la force de Nicolaï Abildgaard.
Cinq ans plus tard, il retourne au Danemark et commence à peindre dans un style très traditionnel, comme en attestent ses oeuvres illustrant les auteurs romains Terence et Apulée. Directeur de l'Académie de Copenhague de 1789 à 1791, l'artiste est également sculpteur, architecte, et dessinateur de costumes de théâtre et de meubles.
Exposé au Palazzo dei Diamanti de Ferrara en 2003, ou au Statens museum for kunst de Copenhague en 2007, son oeuvre fait aussi partie des collections permanentes du Nordjyllands Kunstmuseum d'Aalborg ou du Ny Carlsberg Glyptotek de Copenhague. S'il est tributaire de la veine néoclassique danoise, son art s'impose avant tout comme une peinture révolutionnaire, tant sur les plans esthétiques que politiques. Et c'est sans doute cette fusion d'un ancrage typiquement nord-européen et d'idées universelles influencées par la pensée des Lumières qui fait la force de Nicolaï Abildgaard.
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