Gyula Benczúr (1844 - 1920)
Narcissus, 1881
LE NU MASCULIN DANS L'ART . . . . Homosexualité masculine et culture art peinture dessin photographie cinéma littérature sculpture histoire et bien d'autres choses...
vendredi 27 août 2010
Les amulettes phalliques romaines
Les deux symboles les plus répandus et vénéré dans le monde antique étaient l'œil et le phallus.
Le phallus était porté comme protection contre le mauvais œil. Les amulettes de bronze étaient très appréciées. Les unes étaient fixes, disposées dans les maisonset les temples, les autres étaient portées.
Considéré comme une amulette, comme un fétiche portatif, le Phallus recevait le nom de fascinum, et était d’un usage très fréquent chez les Romains. Ils ne connaissaient point de préservatif plus puissant contre les charmes, les malheurs et les regards funestes de l’envie.
C’était ordinairement une petite figure du Phallus en ronde-bosse, de différente matière ; quelquefois, c’était une médaille qui portait l’image du Phallus. On les pendait au cou des enfants et même ailleurs. On les plaçait sur la porte des maisons et des édifices publics : Les empereurs, au rapport de Pline, en mettaient au-devant de leurs chars de triomphe.
Les vestales, lorsqu’on célébrait des sacrifices à Rome, leur rendaient un culte.
On varia à l’infini les formes de ces amulettes ithyphalliques : les unes présentaient le Phallus combiné avec le mullos ou la figure du sexe féminin. Les cabinets d’antiquités et celui de la Bibliothèque impériale en contiennent plusieurs de cette espèce.
Les autres présentent un Phallus simple, mais muni de deux ailes et de deux pattes d’oiseaux, et quelquefois de sonnettes. Cette dernière particularité rappelle l’usage antique de représenter quelquefois la figure du dieu Priape tenant une sonnette à la main.
D’autres amulettes ithyphalliques ont la forme d’un chien couché, ou des cuisses et des jambes humaines ployées et sans corps. Les plus décents offrent la figure d’une main fermée et dont le pouce est placé entre les deux doigts qui le suivent. C’est cette figure que les antiquaires nomment main ithyphallique.
Il y eut des fascinum doubles et triples ou figurés par deux et trois branches partant du même centre. Les triples Phallus étaient fort en usage dans l’antiquité.
source: Les divinités génératrices (1805), par Jacques-Antoine DULAURE
Le phallus était porté comme protection contre le mauvais œil. Les amulettes de bronze étaient très appréciées. Les unes étaient fixes, disposées dans les maisonset les temples, les autres étaient portées.
Considéré comme une amulette, comme un fétiche portatif, le Phallus recevait le nom de fascinum, et était d’un usage très fréquent chez les Romains. Ils ne connaissaient point de préservatif plus puissant contre les charmes, les malheurs et les regards funestes de l’envie.
C’était ordinairement une petite figure du Phallus en ronde-bosse, de différente matière ; quelquefois, c’était une médaille qui portait l’image du Phallus. On les pendait au cou des enfants et même ailleurs. On les plaçait sur la porte des maisons et des édifices publics : Les empereurs, au rapport de Pline, en mettaient au-devant de leurs chars de triomphe.
Les vestales, lorsqu’on célébrait des sacrifices à Rome, leur rendaient un culte.
On varia à l’infini les formes de ces amulettes ithyphalliques : les unes présentaient le Phallus combiné avec le mullos ou la figure du sexe féminin. Les cabinets d’antiquités et celui de la Bibliothèque impériale en contiennent plusieurs de cette espèce.
Les autres présentent un Phallus simple, mais muni de deux ailes et de deux pattes d’oiseaux, et quelquefois de sonnettes. Cette dernière particularité rappelle l’usage antique de représenter quelquefois la figure du dieu Priape tenant une sonnette à la main.
D’autres amulettes ithyphalliques ont la forme d’un chien couché, ou des cuisses et des jambes humaines ployées et sans corps. Les plus décents offrent la figure d’une main fermée et dont le pouce est placé entre les deux doigts qui le suivent. C’est cette figure que les antiquaires nomment main ithyphallique.
Il y eut des fascinum doubles et triples ou figurés par deux et trois branches partant du même centre. Les triples Phallus étaient fort en usage dans l’antiquité.
source: Les divinités génératrices (1805), par Jacques-Antoine DULAURE
jeudi 26 août 2010
Né en 1959 à Hilversum, Pays-Bas
Olaf a tout d'abord étudié le journalisme à Utrecht avant de se lancer dans la photographie de mode et de publicité. Il est connu pour ses travaux en publicité : il a signé des campagnes pour Levi's, Microsoft et Nokia. Ses travaux personnels témoignent d'une volonté provocatrice (poses suggestives, humour noir, nudité) plusieurs fois récompensés et font l'objet de nombreuses expositions à travers le monde.
Erwin Olaf photographie dans un style affirmé des sujets qui ne satisfont pas l’idéal de beauté. Dans ses anciennes séries, il a représenté notamment des vieillards, des nains et des handicapés mentaux comme de véritables modèles glamour, alliant l’humour, le respect, l’imagination et l’érotisme. Erwin Olaf crée des images qui émanent tout autant de la contre-culture que de la mode et de la pornographie. Son travail le plus récent, Rain (2004), comporte des photos qui, à l’opposé de ses oeuvres antérieures, ne sont pas sophistiquées mais évoquent la mélancolie des années cinquante. Expression par l’image d’une pression sociale empreinte de claustrophobie et d’aliénation de l’individu.
source:photographie.com
Olaf a tout d'abord étudié le journalisme à Utrecht avant de se lancer dans la photographie de mode et de publicité. Il est connu pour ses travaux en publicité : il a signé des campagnes pour Levi's, Microsoft et Nokia. Ses travaux personnels témoignent d'une volonté provocatrice (poses suggestives, humour noir, nudité) plusieurs fois récompensés et font l'objet de nombreuses expositions à travers le monde.
Erwin Olaf photographie dans un style affirmé des sujets qui ne satisfont pas l’idéal de beauté. Dans ses anciennes séries, il a représenté notamment des vieillards, des nains et des handicapés mentaux comme de véritables modèles glamour, alliant l’humour, le respect, l’imagination et l’érotisme. Erwin Olaf crée des images qui émanent tout autant de la contre-culture que de la mode et de la pornographie. Son travail le plus récent, Rain (2004), comporte des photos qui, à l’opposé de ses oeuvres antérieures, ne sont pas sophistiquées mais évoquent la mélancolie des années cinquante. Expression par l’image d’une pression sociale empreinte de claustrophobie et d’aliénation de l’individu.
source:photographie.com
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