.
.
.
.
"La différence entre l'érotisme et la pornographie c'est la lumière". Bruce LaBruce
.
.

jeudi 8 septembre 2016




Jean Marais, 1913-1998. France



Le peintre et le sculpteur













Jean Marais par Raymond Voinquel














Marcel Aymé par Jean Marais  (Le passe-muraille)


































L'aigle








Le messager, vers 1960






Le messager, vers 1960






Le messager, vers 1960






Sans titre






Sans titre






Faune













Faune






Sans titre







Le soleil , vers 1960






.Paire de grands bougeoirs






Personnage fantastique






Quatre profils






Sans titre (Jean Cocteau)






.Sculpture aux quatre visages






Table basse aux mouflons





Buste de Jean Cocteau







Buste de Jean Cocteau







Sans titre







Jean Cocteau






Jean Marais dans un costume conçu par Coco Chanel et Jean Cocteau pour « L’oedipe roi » 1937













mercredi 7 septembre 2016




Athletic Model Guild.






Dennis Lavia  









Tim Hawkinson, 1960. USA


Emotor, 2002





Impressions jet d'encre altérées sur plastique et carton mousse sur panneau, moniteur, escabeau et composants mécaniques 124,5 × 91,4 × 10,2 cm



L'artiste multimédia Tim Hawkinson a utilisé une grande variété de matériaux communs, tels que des sacs en plastique, des chaussettes usagées et mises au rebut, des matières organiques de son propre corps, pour faire ses sculptures cinétiques, ses installations et ses collages de photos complexes. Il incorpore fréquemment de multiples techniques et des médias, y compris le son, dans une seule sculpture ou installation, une combinaison du corps et de l'industrie pour créer un monde physique dans lequel la chair et le plastique sont indiscernables. L'installation cinétique Emoter (2002), par exemple, est un collage photographique du propre visage de Hawkinson, relié par des fils à une machine qui manipule ses traits dans les expressions de l'émotion.


" J'ai commencé à penser à l'image et au visage et comment tout type d'entrée dans ce visage - peu importe à quel point c'était irrationnelle ou commun - créerait toujours quelque chose que nous pouvons déchiffrer, regarder, et lire et apporter une sorte de message. J'ai utilisé mon visage, mais je ne me considère pas comme un auto-portrait psychologique ou quelque chose comme ça. Je ne peux pas faire la plupart de ces mimiques. "- Tim Hawkinson























































Francis Harwood (Studio of),  Angleterre 






Bust of a Man, 1758







Salvador Dali 














Parfois je crache par plaisir sur le portrait de ma mère, 1929

























Grégor Arax


Studio Arax, Paris. Années 40 et 50






Jean Merlier






Jean Merlier













Robert Duranton


























Mon Graffito 





Cats, 2012






Académies masculines



Ecole française, 19ième siècle




















MARIN.



C'est ce qu'on appelle un beau bébé.






















Arman, 1928 - 2005. Franco-américain






Home, Sweet Home, 1960. Accumulation de masques à gaz dans une boîte sous Plexiglas, 160 x 140,5 x 20,3 cm. Centre Pompidou, Paris





Poursuivant ses expérimentations autour de l’objet, Arman réalise en 1959 la première de ses « Accumulations » : un entassement d’ampoules de postes de radio dans une boîte en bois peinte en noir et recouverte d’un Rhodoïd. 

Son langage s’élabore à partir d’objets banals ou insolites, utiles, usagés ou agressifs, dont la liste est quasiment inépuisable : cafetières, théières, marteaux, clefs à molette, clefs, revolvers… À la suite de son exposition « Poubelles et Accumulations » à Düsseldorf, en juin 1960, il énonce ses idées dans un texte-manifeste ( Réalisme des accumulations ) : 

« J’affirme que l’expression des détritus, des objets, possède sa valeur en soi, sans volonté d’agencement esthétique les oblitérant et les rendant pareils aux couleurs d’une palette ». 

Toutefois, l’arrangement des objets accumulés n’est pas aléatoire et relève d’« une décision, même minime, de composition », comme le dira Arman en 1997. Les « Accumulations » sont de véritables tableaux, leur qualité picturale résultant du choix des objets, de leurs couleurs et reliefs, de la variété des matières et des formes de l’ensemble. 

« Ce procédé de travail est en corrélation avec les méthodes actuelles : automation, travail à la chaîne et aussi mise au rebut en série, créant des strates et des couches géologiques pleines de toute la force du réel », conclut-il dans son manifeste de 1960. 

C’est précisément cette « force du réel » dans toute sa brutalité qui surgit avec Home, Sweet Home. En dépit de l’ironie distanciée du titre, l’entassement morbide des masques à gaz évoque en effet la guerre, la tragédie et l’horreur.

Alice Fleury

Extrait du catalogue Collection art contemporain - La collection du Centre Pompidou, Musée national d'art moderne , sous la direction de Sophie Duplaix, Paris, Centre Pompidou, 2007







Eadweard Muybridge, 1830-1904. Royaume-Uni 






The Human Figure in Motion, 1901