.
.
.
.
"La différence entre l'érotisme et la pornographie c'est la lumière". Bruce LaBruce
.
.

lundi 13 janvier 2014





Leo Herrera, USA





THE FORTUNE TELLER









"... L'HOMOSEXUALITÉ TRANSCENDE LA CULTURE, LA GÉOGRAPHIE ET LA RACE. L'HOMOPHOBIE EST LA MÊME À NEW YORK ET EN RUSSIE ... NOTRE LIBERTÉ SEXUELLE EST AUSSI VILIPENDÉ EN AMÉRIQUE QU'EN OUGANDA ... ET POURTANT NOUS ALLONS TOUS DE L'AVANT À L'ÉCHELLE MONDIALE ... LA LÉGALISATION DE NOS UNIONS ENJAMBE LES CONTINENTS, LA DOUCEUR INCOMPARABLE DE NOS GESTES TRANSCENDE LE LANGAGE. JE NE SAIS PAS SI CES SIMILITUDES UNIVERSELLES FONT DE L'"HOMOSEXUALITE" UNE CULTURE, UNE RACE OU UNE EXPÉRIENCE PARTAGÉE. CE QUE JE SAIS, C'EST QU'ELLES SUSCITENT UNE PROFONDE FIERTÉ EN MOI QUI EST PRESQUE RELIGIEUSE. "-  LEO HERRERA






Mapplethorpe, 1971




A travers la transe d'un Fortune Teller (un diseur de bonne aventure) joué par Stanley Frank, Léo Herrera, défini comme un artiste gay activiste, retrace 50 ans d'histoire de l'homosexualité moderne au travers d'une compilation d'images de tous horizons, films, clips, images d'actualité. Créant un kaléidoscope d'images à partir d'une centaine de source, il aborde des sujets tels que l'homophobie, le SIDA, mais aussi les temps heureux de l'homosexualité triomphante. Herrera conçoit que le choix des images est totalement personnel, mais il semble installer une vision universelle à travers des icônes et des modes gay et forme au final une véritable capsule temporelle de notre culture.





Prisonniers portant le triangle rose, camps de concentration nazis, deuxième guerre mondiale

















Harvey Milk, Pride Parade, San Francisco, 1978







Traitement de l'homosexualité par électro-chocs aux Etats-Unis dans les années 40







Membre de la Westboro Baptist Church dans les années 2000, manifestation contre l'homosexualité








“Kill The Gays” manifestation anti-gay, Ouganda, 2011








Manifestation contre le mariage gay, France, 2011








Arrestation des participants de la Gay Pride, Moscou, Russie, 2011







Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire